À la différence d’un agent, le mandataire immobilier est rémunéré sur ses résultats. Par conséquent, il ne bénéficie pas d’un salaire régulier et fixe. Ses revenus sont essentiellement constitués d’un reversement d’une partie des honoraires perçus par l’agence ou le réseau auquel il est affilié. Il serait tentant d’affirmer que le meilleur mandant serait celui qui propose le taux le plus élevé de commissions. En réalité, le choix doit considérer certains critères comme l’existence d’une formation de qualité, d’un nombre suffisant de mandats, etc. Avec BL Agents, par exemple, il est possible de faire évoluer le taux de rétribution en fonction du chiffre d’affaires réalisé, et ce, dès l’accession au réseau.
Différences au sujet des commissions en agence et en réseau
Globalement, un mandataire immobilier peut réaliser les mêmes activités qu’un agent, à l’exception de la signature des compromis de vente. Que ce soit la prospection, les visites ou encore la publicité, toutes ces activités sont de son ressort, selon le type de mandat qu’il a obtenu de l’agent immobilier. Le mandataire est affilié aux agents commerciaux. De ce fait, il exerce son métier dans une totale indépendance. Vis-à-vis de son mandatant, en l’occurrence une agence ou un réseau de conseillers immobiliers comme BL Agents, il n’a aucune relation de subordination, ni d’obligation d’objectif commercial. C’est surtout sur ce dernier point que se base le mode de rémunération du mandataire. En effet, en tant qu’apporteur d’affaires à son mandant, il est uniquement payé suivant ses résultats, c’est-à-dire le nombre et le montant des ventes qu’il a réalisé. Ce sont les commissions, une partie des honoraires perçus par l’agence ou le réseau pour la vente d’un bien.
Néanmoins, que cela concerne le taux des commissions ou de leur nature, tout dépend du fait que le mandataire immobilier soit affilié à une agence ou à un réseau tel que BL Agents. Lorsque son mandant est, effectivement, une agence immobilière, le professionnel peut percevoir un « salaire », majoré d’une partie des commissions de vente, considérée comme des primes. Cela peut arriver lorsque le mandataire immobilier est placé sous le statut de mandataire VRP pour lequel il doit signer un contrat de travail en bonne et due forme. Cette situation influe grandement sur sa liberté professionnelle, étant donné qu’il peut être attribué d’un objectif de vente, malgré son statut d’agent commercial. De plus, le taux de rétrocession d’honoraires est aussi assez faible, de l’ordre de 50 ou 60 %. Certaines agences peuvent même proposer un taux de 20 %.
Le taux de rétribution de commissions est nettement plus élevé chez les réseaux de conseillers immobiliers. Si ces derniers ont carte blanche pour le fixer, il varie généralement entre 60 et 90 % des honoraires perçus par le mandant. Ce qui veut dire que le mandataire a la possibilité de récupérer presque l’intégralité des commissions lorsqu’il évolue en réseau. Bien entendu, le taux ne signifie pas tout. Même s’il est élevé, le montant perçu par le mandataire va dépendre intégralement du chiffre d’affaires qu’il va réaliser. S’il y met les efforts nécessaires, il lui est possible de se faire un revenu annuel assez conséquent.
Importance d’estimer son CA annuel et de choisir l’offre la plus avantageuse en fonction de ses objectifs
Arithmétiquement, le mandataire immobilier peut gagner beaucoup plus qu’un agent sur un même nombre de ventes et de prix. C’est tout à fait logique dans la mesure où étant travailleur indépendant, il peut prendre le risque de ne réaliser aucune opération sur l’année. C’est un juste retour des choses s’il gagne davantage. Par ailleurs, cela suppose un fait presque indéniable, le métier de mandataire immobilier requiert un effort conséquent de la part du professionnel. Sans cela, pas de gain substantiel.
Les revenus tirés du métier de mandataire immobilier sont soumis aux cotisations sociales de 22 %. Cependant, cette imposition est plafonnée à une limite de CA à 70.000 euros. Au-delà de ce montant, le professionnel devra constituer une entreprise de type EIRL. C’est le premier point à considérer lorsqu’on fixe un certain objectif financier. Par ailleurs, si l’on veut faire de ce métier sa principale source de revenus, savoir estimer son chiffre d’affaires annuel est la première chose à faire. Néanmoins, il ne s’agit pas d’un exercice que l’on doit réaliser de manière anodine. En effet, pour prétendre atteindre un objectif de CA quelconque, il faut trouver le bon réseau de conseillers, car un nombre de ventes élevé n’est pas synonyme commissions importantes. Cela dépend, en partie, à la qualité du mandat, constitué des biens à vendre à disposition du réseau. S’il s’agit de propriétés immobilières à moindre prix, le mandataire n’en tirera pas assez, quand bien même s’il arrive à conclure de nombreuses opérations.
À quoi se définit un bon réseau ? Pour répondre à cette question, il est possible de dresser une liste interminable. De manière générale, un réseau peut être qualifié de « bon » lorsqu’il propose un plan de formation de qualité pour aider le mandataire dans ses activités de prospection et de négociation. Il doit aussi disposer d’outils permettant au conseiller de réaliser son travail plus facilement, en plus de disposer d’un bon service juridique, de mandats diversifiés ainsi qu’une équipe d’accompagnement expérimentée. BL Agents coche pratiquement toutes ces cases.
Les offres présentes sur le marché – offre de BL Agents
Les réseaux ont la totale liberté de formuler leurs offres. En général, celles-ci commencent à 70 % de commissions, ce qui est nettement supérieur à celles des agences qui tournent autour de 60 %, au maximum. Certains réseaux peuvent proposer jusqu’à 98 % pour attirer les mandataires les plus motivés. Cela dépend également du type de pack. Quèsaco ? Le pack se définit comme étant une offre mensuelle forfaitaire pour laquelle le mandataire participe financièrement à son appartenance au réseau sous la forme d’une redevance. Le « prix » du pack varie en fonction des performances du mandataire (nombre de ventes, de sites de diffusion des annonces, etc.). Sur ce point, BL Agents propose aux mandataires un pack totalement gratuit et à vie avec une rétribution garantie de commissions de 87 %. Cette offre s’adresse essentiellement aux professionnels qui arrivent à réaliser un CA de plus de 140.000 euros. Cette offre inclut une diffusion illimitée des annonces du mandataire sur des sites premiums (SeLoger, Le bon coin, etc.), un MLM à sept niveaux, un plan de formation et parrainage, un site web personnalisé et attestation ALUR. BL Agents propose également un pack payant à 170 euros avec le même taux de rétribution financière de 87 %.
En ce qui concerne les commissions, BL Agents pratique une politique par paliers. Pour les mandataires débutants, 60 % de rétribution leur sont promis. Au fur et à mesure que le mandataire monte en compétences, en réalisant davantage de chiffres d’affaires, le taux est revu à la hausse. 70 % pour un CA de plus de 25.000 euros, 80 % pour un CA supérieur à 70.000 euros, et 87 % au-delà de 140.000 euros. Lorsque le mandataire atteint le palier supérieur, il conserve son taux de rémunération. De même, s’il réalise un CA correspondant à un palier de rémunération dès son inscription chez BL Agents, il peut tout de suite prétendre au taux correspondant.