Le mandataire immobilier peut percevoir une rémunération attractive, mais variable. Car il faut savoir que celle-ci est essentiellement constituée de commissions qui représentent, elles-mêmes une partie des honoraires de ventes de biens qu’il a prise en charge. Le mandataire peut ainsi réaliser un bon revenu s’il arrive à conclure un certain nombre d’opérations dans l’année. Dans tous les cas, il s’avère qu’il peut prétendre à de meilleurs bénéfices que l’agent immobilier salarié qui ne récolte pas beaucoup sur les honoraires. Toutefois, il faut avoir dans l’idée que pour réaliser de bons résultats, le mandataire se doit d’apporter les efforts nécessaires. En bénéficiant de l’accompagnement d’un réseau comme BL Agents, il est possible de disposer de tous les outils pour réussir dans ce métier.
Le mandataire immobilier peut réaliser la plupart des activités de l’agent, sauf pour la signature des différents compromis qui est uniquement du ressort de ce dernier. Cependant, comme l’agent immobilier, il perçoit également des parts des honoraires de vente sous forme de commissions. Il faut dire que son revenu est même entièrement constitué de ces dernières, étant donné qu’il n’est pas salarié.
D’une manière générale, le taux de rétribution de commission varie entre 50 et 90 % des honoraires perçus par le mandant qui peut être, ici, un agent immobilier, une agence ou un réseau de conseillers comme BL Agents. Une règle générale veut que plus le mandataire bénéficie d’un accompagnement plus important de la part de son réseau d’appartenance, moins il perçoit de commissions, et vice-versa. Mais dans les faits, un réseau n’est pas obligé de suivre.
Le taux de commissions proposé ne doit pas être le seul critère de choix pour rejoindre un réseau quelconque. Si certains peuvent proposer un taux allant jusqu’à 98 %, il peut arriver que son offre de parcours de formation soit de mauvaise qualité, ce qui ne permet pas au mandataire de monter en compétences.
En effet, chez BL Agents, par exemple, nous avons un plan de formation complet de 500 heures annuelles couvrant toutes les thématiques liées avec le métier de l’immobilier. De plus, nous faisons bénéficier à nos mandataires un accompagnement sur terrain de la part d’un parrain expérimenté. En parallèle, BL Agents accorde une rétribution de 60 % dès l’entrée, pouvant atteindre 87 % en fonction du CA réalisé par le mandataire.
Le mandataire immobilier est rémunéré à travers les commissions, c’est un fait. Toutefois, il faut bien préciser que son gain peut varier sensiblement en fonction qu’il travaille pour le compte d’un réseau, d’une agence ou qu’il pratique son métier essentiellement en ligne. Pour un mandataire membre d’un réseau de conseillers immobiliers, le taux pratiqué par son mandant est souvent plus élevé, à raison de 60 à 90 % en moyenne. Néanmoins, bon nombre de réseaux demandent à leurs membres de s’abonner à un pack mensuel en contrepartie de son appartenance au groupe et des différents services d’accompagnement.
Chez BL Agents, l’offre principale, Propulsion 2.0, est totalement gratuite. Pour sa part, le pack payant, Evolution, commence à 170 euros, avant de baisser de 50 euros par palier de 40.000 euros de chiffre d’affaires. Les deux packs bénéficient d’une large diffusion des annonces du mandataire, un réseau MLM de 5 ou 7 niveaux ainsi qu’un certain nombre de prestations de formation.
Pour un mandataire immobilier qui travaille pour le compte d’une agence, le principal avantage est celui de pouvoir travailler avec une équipe de proximité. L’accompagnement peut être meilleur grâce à une plus grande présence en local. Cependant, le taux de commissions accordé par une agence est moindre par rapport à celui du réseau. En moyenne, le mandataire peut percevoir entre 20 et 50 % de rétributions selon son niveau.
Enfin, il faut savoir que le mandataire immobilier peut aussi travailler uniquement en ligne. Généralement, ce métier s’exerce sous le mandat d’une agence. Avec cette formule, le taux de rétribution varie entre 50 et 70 %.
D’une manière générale, le mandataire même en début de carrière, gagne bien sa vie. Dès la première année, il peut prétendre un revenu mensuel moyen de 2500 euros qui peut monter jusqu’à 5000 euros à la troisième année. Toutefois, il faut bien comprendre que sa réussite financière dépend entièrement de l’effort qu’il est prêt à mettre sur la table pour conclure des opérations de vente. D’autres facteurs peuvent aussi entrer en jeu. Il s’agit, entre autres, de sa zone de travail, de son niveau de maîtrise du métier, de la qualité des mandats offerts par son réseau ou agence et, enfin, le type de biens qu’il gère. En effet, certains peuvent valoir davantage que d’autres.
Travailler en indépendant à l’avantage de la liberté et de la flexibilité de travail. Toutefois, cela suppose certaines adaptations en se fixant quelques règles. L’objectif est surtout d’obtenir un meilleur équilibre entre la vie professionnelle et personnelle.
En effet, travailler pour son compte, avec les défis quasiment au quotidien, peut générer du stress. Pour s’en prémunir, il va falloir établir une organisation de son temps de travail, et de prévoir, par ailleurs, des moments pour soi. L’objectif est surtout d’éviter des journées trop chargées qui vont souvent à l’encontre d’une bonne productivité. En revanche, accorder trop de temps pour la vie privée ou en famille risque de peser lourd sur l’objectif de chiffre d’affaires. La première chose à faire est de se fixer un horaire de travail journalier, idéalement entre 7 et 9 heures. Pour que la vie professionnelle n’empiète pas sur la familiale, il est conseillé d’avoir deux numéros, l’un professionnel que l’on peut éteindre en fin de journée, et un autre personnel. Pour éviter le stress professionnel, planifier des périodes de vacances et des exercices physiques est indispensable.
Même si le mandataire peut exercer de chez lui, l’aménagement d’un espace pour pratiquer son activité est plus qu’utile. Le but est, notamment, de se fondre totalement dans un cadre professionnel. Dans la mesure du possible, il peut dédier une pièce de la maison en bureau avec la décoration qui lui convient le mieux. Le plus important reste le fait de s’y sentir bien. Si cela n’est pas envisageable, travailler dans un espace de « coworking » peut constituer une solution alternative.
Le mandataire immobilier est souvent confronté à une charge de travail importante. Parallèlement avec une bonne organisation de travail, la priorisation des tâches s’avère nécessaire. Il faut savoir distinguer entre les activités prioritaires, urgentes et secondaires. Pour cela, il doit être en mesure de planifier son travail sur plusieurs jours tout en se fixant des objectifs journaliers.